Le monde de la sorcellerie
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Feuille de personnage de
Glastnostzima Stanislas
Nom
:
Glastnostzima Stanislas Iemelian
Âge
:
Plus de 75 ans
Statut
:
Propriétaire du chaudron baveur
Origine
:
Russe
Description physique
:
Corps : Stanislas est un homme de taille moyenne, les épaules larges, il est robuste, sa peau qui était autrefois blanche comme neige, est devenus, a cause du soleil et de la vieillesse, un peu plus sombre et ridé. Visage : Stan avait autrefois un beau et séduisant visage, la peau lisse, les yeux d’un vert émeraude profond et les cheveux d’un roux très clair, tirant sur le blond vénitien lui entourant le visage ce qui lui donnait l’aspect d’un jeune lion. En vieillissant ses long cheveux ébouriffés sont devenue d’un blanc, encore parsemé de gris par endroits, ses yeux ont toujours cette même profondeur et vivacité. Sa peau est marqué par sa longue vie agité. Toujours un sourire charmeur accroché aux lèvres, des clins d’œil fréquents marquant sa bonne humeur, et son envie de rire. Style vestimentaire : Stanislas aime les vêtements excentriques, les cols à frou-frou les vestes bien cintrées mais de couleur extravagante, des assortiments colorés et tape à l’œil,mais toujours avec du style. Très inspiré du 17eme siècle, il porte des chaussures à talons, des manches à dentelles, des lacets et tous les accessoires indispensables.
Famille
:
- Pere moldu, Russe - Mere sorciere, Russe - Frere, Nicolaï, qu'il a perdu de vue depuis longtemps. - Fille sorciere de 42ans du nom d'Alissa (de mère inconnu). A deux fils et vit a Paris.(Tres proche) - Fils sorcier de 42ans du nom de Nicolaï(de mère inconnu). A une fille et vit en Russie.(Perdu de vue aussi)
Animal
:
Stanislas possède une vieille colombe apprivoisée qui répond au nom de Elina (apaiser la douleur en russe )
Baguette
:
C’est une baguette en bois de séquoia souple et maniable, longue de 19 cm, un nerf de cœur de dragon niché en son centre. C’est une baguette achetée à St Pétersbourg, chez le célèbre fabricant, Barnabov et fils.
Capacités magiques
:
Tres doué en sortilege(et aussi imprononcé) et en potions il se montre cependant peu doué en méthamorphose.
Rapport avec la Magie Noire
:
Il ne la connait pas, ne l'aprecie pas, mais n'y pense pas. Elle ne fait tous simplement pas partie de sa vie.
Signe particulier
:
SIGNE PARTICULIER (facultatif): Il porte une lunette sur l’œil droit, qu’il change de couleur selon les jours.
Caractère
:
Stanislas est un sorcier qui aime les plaisirs de la chair, et du bon vin. Il parle de façon a toujours plaire aux gens qu’il rencontre, il sait manier les mots de façon a ne jamais mentir, et pourtant à cacher beaucoup de choses. Derrière son air plaisant et sa galanterie à toutes épreuves, se cache un homme tout autre. Stanislas aime amuser la galerie, jeune il jouait de ses charmes avec les femmes, savait les séduire pour leur parler, et leur offrir ce qu’elles voulaient. Aujourd’hui malgré son age, il plait toujours aux femmes, et aime toujours séduire les beautés qu’il rencontre. Un brin frivole et fougueux, un brin mystérieux, un brin plaisantin, c’est selon lui le mélange parfait qui le définit.
Histoire
:
Stanislas est né au petit matin du 7 avril, l’aînée de la famille, l’enfant tant attendu. très jeune, il fut élevé par des nourrices et des domestiques de la maison. Il aimait jouer avec les poupées de porcelaine de sa mère, les coiffer, les habiller, souvent on le grondait, car c’était fragile, précieux, ce n’était pas un jeu pour les enfants. Stanislas aimait aussi beaucoup passer des heures à observer les femmes faire la cuisine et le ménage, il ne se lassait jamais de les détailler, de les observer, admirant leur beauté depuis tout petit. Toujours la tête en l’air, le petit Stan ne manquait jamais d’imagination, il se promenait souvent avec sa mère à travers le grand parc et les forêts, lui narrant des histoires farfelues qu’il inventait de toutes pièces, la faisant rire. Stanislas se souvint parfaitement du rire de sa mère, aigue et clair. Son père lui était souvent absent, il le voyait simplement lors des dîners en famille le soir, mais il le trouvait passablement ennuyeux, strict et sévère. Lorsque Stanislas eut atteint son sixième anniversaire, sa mère se chargea alors d’employer des instituteurs pour faire son éducation à la maison, ne souhaitant pas qu’il aille dans une école moldu, de peur qu’il fasse des ‘bétises’ par inadvertance. Il apprit alors à lire et à écrire, à parler anglais, ainsi que le ‘français de Molière’, il apprit les complexe des mathématiques, de la physique, des sciences de la terre, de l’histoire-géographie, et de la philosophie. Puis il consacra ses après-midi à apprendre à monter à cheval, à nager, à danser, à jouer du piano et enfin à créer, l’art étant ensuite son domaine de prédilection. Ses parents voulurent pour lui une éducation complète et soutenue, et il fut entièrement à la hauteur de leurs espérances. Il s’avérait être un élève modèle, sage et désireux d’apprendre, il épatait ses professeurs et les faisait souvent rire. Alors qu’il eut huit ans, Stanislas eut un frère, Nicolaï, il fut réjoui de cette nouvelles, mais n’avait pas le droit, de l’approcher encore, car il était bien trop jeune disait ses nourrices, il ne fallait pas l’embêter. Mais bien vite Nicolaï se révéla être presque l’opposé de son aîné. Il était discret et solitaire, il parlait peu mais avait soif d’apprendre, il se révéla bien vite un petit génie, au grand bonheur de sa mère, qui lui donna des cours dès l’age de 4 ans cédant aux fréquentes requêtes de son derniers fils. Lorsqu’il eut atteint ses 11ans, Stan reçu une lettre de Morkatov, l’école de sorcellerie de Russie. Folle de joie sa mère l’emmena faire ses achat et l’envoya à l’école l’année qui suivit, la larme à l’œil. Stanislas apprit beaucoup à l’école de magie, et se révéla un sorcier doué, avec de réelles dispositions pour la défense contre les forces du mal et les sortilèges qu’il manipulait à merveille. À Morkatov il s’épanouit complètement, adorant tourner autour des filles, les butiner, les faire rire, les séduire et les butiner. Il apprit l’art d’aimer, et Stanislas le fit à merveille, rendant ses conquêtes les plus heureuses possible, écoutant les moindre de leurs désirs. Au terme de sa septième année, Stan obtint tout ses Aspics avec succès et partit donc pour vivre en adulte qui se respecte. Seulement sa famille se ruinait, la vie n’avait plus le même coup qu’avant et ses parents n’ayant pas de réel travail, les sous filèrent vite antre leur doigt. Les Glastnostzima durent alors vendre leur domaine qu’ils n’avaient plus les moyens d’entretenir et partirent vivre dans une toute petite maison au centre de St Petersbourg. Stanislas refusa de travailler au ministère de la Russie, malgré les encouragements incessants de ses parents et de ses professeurs. Cela pourrait lui permettre un emploi stable, bien rémunéré et surtout une place confortable. Mais Stan ne voulait pas de ça, il forma une petite troupe de théâtre et anima les salles de sa ville natale. Bien vite il eut une bonne réputation et les salles étaient de plus en plus pleines. Il partit alors faire le tour de la Russie pour jouer un peu dans toutes les villes qu’ils traversaient. Stan était alors un beau jeune homme et il eut de nombreuse amantes, ne s’attachant pas à l’une d’elles, il ne pouvait pas, il les aimait toutes. Mais un beau jour alors qu’il revint à St Petersbourg, il décida d’arrêter le théâtre et il acheta une auberge dans une rue uniquement fréquenté par des sorciers. Il aimait le contact des clients et les soirées animé autour de bonnes bouteilles. Quelques années plus tard, alors que son auberge marchait du tonnerre, on entendait partout des bienfaits de cet accueil dans le monde des sorciers, il reçut une nuit, une des surprises les plus inattendus. En effet au beau milieu de la nuit, il entendit des coups contre les carreaux de sa chambre, il descendit en trombe car c’était le signal habituel qu’une jeune fille avait envie d’une peu de tendresse, mais qu’elle ne fut pas sa surprise lorsqu’au lieu de trouver une belle, il découvrit un couffin. C’était une petite fille d’a peine six mois. Ému par la beauté de l’enfant, et sachant qu’il fallait assumer ses actes, Stanislas décida de garder l’enfant et de l’élever seule, ne sachant pas qui était la mère. Deux mois plus tard, à sa grande surprise, il se produit le même événement. C’était cette fois un petit garçon à peu près du même age que la fille. Plein de générosité et d’amour, Stan l’accueilli aussi. Seulement le message semblait courir parmi ses conquêtes, et de peur de se retrouver avec tous les mômes de Russie à la charge, Stan ferma l’auberge et partit pour la France, son pays de prédilection. En France il s’installa à Paris, dans les beau quartiers. Il ouvrit un magasin de baguette magique, dans une rue de sorciers, et apprit l’art de la fabrication des baguettes. Il parvint aussi à nouveau à intégrer une petite troupe de théâtre français, et fit quelques spectacles, juste par plaisir dans les salles parisiennes, qui eurent beaucoup de succès. Il donna aussi des cours de piano à des enfants de son quartier pour arrondir ses fins de mois. Ses deux enfant, Dimitri et Alissa grandirent vite et tout deux montrèrent vite des signes de magie. Stanislas les aimait beaucoup et il leur offrait tout son amour, les accompagnant chaque instant de leur long apprentissage de la vie. Les deux enfant qui avaient à quelques mois prêts le même âge, s’entendaient à merveille. Bientôt alors qu’ils atteignirent l’age de 11ans, ils entrèrent à l’école de magie de beaubatons. Tous deux se montrèrent enchantés et même s’ils n’excellaient pas en toute les matières, Stan était fier d’eux, ils étaient des enfants adorable et attentionné, et quoi qu’un peu capricieux parfois, ils savaient tout mettre en œuvre pour ne pas trop causer de souci à leur père qui se mettait en quatre pour leur offrir l’enfance dont ils méritaient. Enfin ceux-ci atteignirent leurs 18 ans et obtinrent leur diplôme de fin d’année, et entrèrent dans le milieu des adultes, avec d’immenses possibilités entre leurs mains. Stanislas lui en avait assez de sa vie à Paris et profita de ce changement pour partir vivre à Londres. À Londres il s’installa dans une petite maison douillette au abord de la ville, avec un petit jardin. Il passa quelque mois sans travailler, découvrant la ville en parfait petit touriste, mais bientôt il se lia au chemin de traverse, qu’il ne pouvait s’empêcher de fréquenter presque chaque jours. Et alors qu’il s’attablait très souvent au chaudron baveur, faisant rire les clients, le propriétaire lui demanda un jour s’il souhaitait travailler avec eux, et Stan s’empressa d’accepter. Depuis ce jour on peut toujours voir Stanislas dans le pub, occupé à servir des clients, un sourire aux lèves, ou à séduire des jeune sorcières de passage.
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