Le bureau de Marcus était une pièce spacieuse d’un des étages du ministère de la magie (je ne sais pas exactement quel étage lol^^). Une fois passé la lourde porte de bois noir, la pièce s’ouvrait large et vaste. En face de l’entrée un large bureau avait trouvé sa place, son bois était aussi foncé que celui de la porte, le long de chacune de ses bordures couraient de petites veines d’or. Bien qu’il ne fût pas taillé avec la précision d’un orfèvre c’était un mobilier de très grande valeur. A la gauche de l’entrée la salle s’étirait de tout son long. Tout au bout on pouvait y trouver une cheminer de marbre blanc, dans lequel se taillé de fins motif aux arabesques compliqués au dessus de la cheminé des têtes de lion prisent dans le temps rugissaient leurs deniers instant. Devant le foyer accueillant était installé quatre fauteuils tous tournés vers la pierre qui abritait en temps normal un feu. Au centre de ce petit cercle une table du même bois que le bureau était installée. Elle n’avait rien de très spécial et c’est surement la rudesse de sa sculpture qui faisait son charme.
A la droite de la cheminé une longue bibliothèque tapissait le mur prenant l’angle puis continuant jusqu’à la porte d’entrée. Des centaines de livres y étaient rangée, rivalisant de leur vieillesse et de leur savoir.
En face de grandes fenêtres s’élevaient, laissant passé la lumière que le soleil offrait, de lourds rideaux rouges étaient tirés de chaque côté de l’encadrement. Ils étaient épais et ressemblaient à ceux d’un théâtre, quand ils étaient fermés aucun rayon de pouvait pénétrer leur tissu de sang.
Des portraits étaient un peu partout accrochés aux murs libres de la pièce, ce n’était pas par gout personnel que Marcus les avaient laissé ici ; simplement par respect pour ceux qui étaient passé avant lui.
Leurs conseils bien que parfois très justes, avaient le dont d’énerver le ministre, et il menaçait à chaque instant de tous les mettre dans un grenier ce qui suffisait souvent à faire taire les personnages animés.
Marcus n’était pas un fan de la déco, à vrai dire ses gouts étaient plutôt médiocre et c’est pour cela qu’il évitait de s’aventurer dans des mélanges trop excentriques. Il avait du mal à discerner la barrière entre le moche et le beau.
Il avait donc opté pour une décoration simple et pas trop osé. Sur son bureau mis à par tous les documents, les plumes et les encres qui y trainait il avait installé une petite lampe qui diffusé une lumière rougeâtre et très conviviale. A l’opposé de la lampe contre le mur un bouquet de lys blancs se pavanait dans un vase transparent. Marcus demandait que ces fleurs soient changées tous les deux jours. Il aimait à les regarder, elles lui inspiraient le calme, la paix qu’une vie entière ne pouvait connaître. Enfin sur la cheminée quelque instrument magique venant de divers de ses voyages étaient posé sans vraiment d’attention.
Sur la table de salon une carafe remplit d’un liquide violet étaient entourée de quatre verres. Chacun de ses objets étaient de cristal taillé avec la grâce que seule les plus fines mains pouvaient se venter de posséder.
Le sol était recouvert d’un parquet, de chêne clair qui donné à la pièce un peu plus de clarté à la pièce. Pour terminer le porte manteau se situé de suite à l’entrée, à la gauche de la porte de bois.